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Les différences entre le Camping et le Parc Résidentiel de Loisirs, que choisir ?

06/05/2020

La différence entre le Camping et le Parc résidentiel de loisirs

La France maintient sa première place de destination la plus visitée au monde avec près de 80 millions de touristes par an. A cela s’ajoute sa pole position en tant que 1er parc de Campings en Europe grâce à ses 8 000 Campings et de 2e parc au monde après les Etats-Unis. A noter que les clients français représentent près de 70 % de la clientèle des Campings sur notre territoire. 

L’offre d’hôtellerie de plein air est très complète et diversifiée. On relève notamment l’émergence des Parcs Résidentiels de Loisirs à travers nos régions. Aujourd’hui, on en compte près de 150 en France, la tendance est à la hausse, ce concept remporte de plus en plus de succès auprès des particuliers qui ont pour projet d’investir dans un mobil-home et de faire un investissement financier.


Une organisation différenciée. Dans quel projet investir ?  

Bien que le concept d’origine de ces deux structures soit très proche, on distingue quelques différences sensibles :   

Premièrement, le type d’hébergement mis à disposition. Un camping propose, généralement, un grand choix d’habitations légères et mobiles, à savoir des bungalows, mobil-homes et chalets mais aussi des emplacements dédiés à l’installation des tentes et des parcelles pour accueillir des caravanes et camping-cars. A noter que la surface moyenne d’une parcelle en camping est comprise entre 100 m² et 160 m². 

Au contraire, le parc résidentiel de loisirs ou « P.R.L » est exclusivement réservé à l’implantation d’habitations légères ou de résidences mobiles de loisirs et dont la surface d'une parcelle fait au minimum 200 m². Les clients des P.R.L ont plus d’intimité lors de leur séjour en ayant moins de vis-à-vis avec leurs voisins du fait de la disposition des emplacements.

Deuxièmement, le type de prestation. Bien que de façon générale, les deux structures proposent des services et prestations de loisirs ressemblantes, telles que les piscines, les structures de restaurations, les aires de jeux, les espaces de sanitaires… les parcs résidentiels de loisirs se rapprochent plus des villages vacances en termes de volume de prestations, plus généreux. Certains proposent une qualité hôtelière de haut niveau et sont même équipés d’animations dignes de parcs d’attractions.

Troisièmement, la durée d’ouverture du site. La majorité des campings sont en activité seulement une partie de l’année dont la saison estivale. Alors que les P.R.L restent ouverts tout au long de l’année car plusieurs personnes sont propriétaires de parcelle et, ou de mobil-home au sein du site comme office de résidence secondaire. 

Pour finir, la localisation. Les campings sont très nombreux et offrent donc un très large choix à travers le territoire, contrairement au nombre plus restreint des parcs résidentiels de loisirs. 


Des points de similitudes 

Tout d'abord, le classement des établissements est comparable, répartit en cinq catégories représentées par un nombre d’étoiles croissant en fonction du niveau de confort des équipements et des aménagements. 

Le deuxième point repose sur l’achat d’une parcelle ou d’un bien de type mobil-home au sein même de ces structures. Il existe deux manières d’acquérir un bien : une location à l’année de la parcelle et donc de l’hébergement attribué ; ou bien, l’achat de la parcelle de terrain et de l’hébergement attribué. Cependant, la différence tarifaire est notable. Le prix d’achat en P.R.L est dix fois plus important qu’en camping, un tarif qui fluctue selon les régions. Pour le bon fonctionnement et la bonne entente entre les propriétaires, un règlement intérieur est établi au sein de la structure. Ce concept permet un investissement moins coûteux qu’une maison secondaire par exemple. 


Le troisième point
commun concernent les charges. En camping comme en P.R.L., les mobil-homes conservent leurs critères de mobilité et, de fait, ne sont ni soumis à la taxe foncière, ni à la taxe d’habitation, ni aux taxes d'urbanisme. Néanmoins, les habitations légères de loisirs de type chalets sont l’exception car il s’agit d’hébergements qualifiés comme étant immobiles et entrent donc dans la catégorie de biens immeubles. Les propriétaires de mobil-homes n’auront donc comme seule charge, que la taxe de séjour. Une taxe communale qui est reversée dans son intégralité aux communes françaises lors d'un séjour touristique (bien qu’ils soient propriétaires), dans un objectif final de financer les dépenses liées au tourisme et à la protection de l'environnement.

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